The study discusses the philosophy of Finnish philosopher J.V. Snellman (1806–81). The focus is on Snellman's so-called philosophy of personality, which he presented in his work "Essay on the speculative Development of the Idea of Personality" (Tübingen, 1841). Besides this work he addressed his philosophy of personality in his other works and in his public lectures. -/- In his philosophy of personality Snellman develops the concept of personality within the framework of G.W.F. Hegel's (1770–1831) philosophy. The concept (...) of personality serves as a basis for Hegel's philosophy of right, and it plays an important role also in other parts of Hegel's system. However, he never provided a comprehensive definition of this concept. The essence of personality was debated among Hegelians after Hegel's death in 1831. In the course of the debate the Hegelian school split into two groups. At the time of publication of "The Idea of Personality" there was a serious rift between the Right- and the Left-Hegelians. -/- The study analyzes Snellman's philosophy of personality in respect of Hegel's philosophy and in respect of the views of other Hegelians – mainly D.F. Strauss (1808–74), L. Feuerbach (1804–72) and C.F. Göschel (1781–1861). I also attend to some contemporaries outside the Hegelian School like F.W.J. Schelling (1775–1854) and I.H. Fichte (1796–1879). -/- The study is divided into six sections (A–F). The first comprises an introduction and an outline of the structure of the study. The second section (B) discusses the historical context of Snellman's philosophy. The first subsection focuses on the Central European debate on Hegel's legacy. The second subsection deals with Snellman's life and his work on philosophy. The systematic part of the study comprises three sections (C–E), which consider the dialectic of Snellman's work of 1841. This dialectic follows the outline of Hegel's philosophy of subjective spirit and culminates in the definition of personality. Snellman, however, exceeds the realm of the philosophy of subjective spirit, as he discusses e.g. the philosophy of religion. He also comments on the debate among Hegelians. According to Snellman, neither Right- nor Left-Hegelians are true to Hegel's philosophy. In effect, his own standpoint in the debate, as I will argue, comes close to that of the Left-Hegelians. The study concludes with a summary (F). (shrink)

The paper discusses J.V. Snellman's (1806–81) reading of F.W.J. Schelling's (1775–1854) philosophy. The reading was presented in his book "Essay on the speculative Development of the Idea of Personality" (1841). Snellman, the most remarkable Finnish Hegelian, focused on Schelling's text "Philosophical investigations into the essence of human freedom" (1809). In Snellman's view Schelling is a forerunner to Hegel. He was not familiar with the details of Schelling's later critic towards Hegel. -/- Snellman became interested in Schelling, (...) because the latter highlights the importance of personality. The essence of evil is further linked with the essence of personality. One asks, for example, that if human personality is seen as dependent on the personality of God, is it reasonable to say that human person is responsible for evil acts? Snellman's main concern is to argue against the positivity of evil. He agrees with Schelling that evil exists only as evil action. (shrink)

Le but de cet article est d'examiner à fonds les relations qu'il y a entre les données de la science sur la matière et l'énergie, et les notions philosophiques de substance et d'accident. Il s'agit ici spécialement des deux questions suivantes : d'abord, doit-ön appeler vraiment exacte l'expression : « la matière se transforme en énergie » et ensuite : peut-on vraiment dire qu'il n'y ait pas de matière dans l'espace vide d'air ? C'est de propos délibéré que nous avons (...) choisi pour l'étude de ces questions la méthode qui consiste à interroger, autant que possible, les données mêmes de la science. Nous esquissons dès lors rapidement dans la première partie de l'article les théories physiques concernant notre sujet. Puis, dans la seconde partie, nous essayons d'en donner une interprétation. Cette interprétation met en lumière l'intuition plus profonde, qui se cache dans la connaissance du physicien, et qui ne saurait s'exprimer d'une manière achevée dans le cadre de la théorie physique comme telle. Il est nécessaire dès lors de donner une notion exacte de la substance. Tout physicien d'ailleurs tient implicitement compte de cette notion, dès qu'il ne se contente plus seulement des seules formules, mais qu'il y ajoute des explications. On doit toutefois circonscrire avec un soin particulier le sens attaché à la notion de « substance matérielle ». Il ne faudra pas par exemple trop insister sur l'occupation d'une certaine partie de l'espace bien tranchée. On doit aussi éviter une espèce d'anthropomorphisme dans laquelle on attribuerait à la substance matérielle une intériorité ou une indépendance trop grandes. Nous espérons être arrivé ainsi à des conclusions fondamentales sur la notion de la substance matérielle, ainsi que sur la nature de l'espace appelé vide. (shrink)

Peut-être que jusqu'ici dans les recherches philosophiques sur la nature du temps on a attribué trop peu d'attention à la distinction entre « temps » comme catégorie mathématique d'une part, et « temps » comme il est réalisé dans des processus et des périodes d'autre part. Quand on essaie de combler ce vide, on éprouve le besoin d'impliquer dans ses considérations l'apparition fréquente de « nouveauté » et de « commencement ». C'est pourquoi on examine dans la première partie de (...) cet article comment nous nous formons une notion mathématique du temps. Il apparaît que cela se fait en idéalisant la perception des périodes. On s'imagine que l'unité du temps une fois choisie peut être reproduite exactement, et même jusqu'à l'inñni. En outre on s'imagine que chaque période peut être divisée en des intervalles arbitrairement petits. Un instant est pensé comme une limite nette entre le temps qui précède et le temps qui suit ; ici la séparation entre les deux parties du temps est posée comme absolue contre arrière-plan d'un temps dont justement la cohérence est posée comme absolue. C'est ainsi que naît la catégorie du temps comme une possibilité homogène, toujours égale à elle-même pour indiquer des instants indivisibles et pour délimiter des périodes, à savoir une possibilité qui s'étend sans limites des deux côtés de l'instant actuel, aussi bien vers l'avenir que vers le passé. Quand on indique un instant, deux notions contradictoires sont posées en même temps, à savoir une séparation absolue et une cohérence absolue. Dans la physique ce schéma mathématique s'avère extrêmement utile. Pourtant il s'agit de se rendre toujours compte de l'applicabilité défectueuse de ce schéma, de sorte qu'on fasse attention aux complications qui exigent un complément et une correction de la théorie. Quand on applique le même schéma aussi aux processus vitaux et aux événements psychiques, alors l'incohérence entre le schéma mathématique et la succession réelle des périodes se trouve encore plus grande. Dans la deuxième partie on analyse le « commencement ». De la manière la plus originelle un commencement se présente devant nous, quand nous essayons d'avoir une vue d'ensemble de notre propre vie, comme elle se trouve dans notre mémoire. Dans le passé nous rencontrons alors une frontière que nous ne pouvons pas marquer cependant nettement sur une échelle mathématique. Ainsi en analysant chaque commencement on doit distinguer de nouveau soigneusement le commencement dans le domaine mathématique de celui dans l'ordre réel. Le caractère abrupt qui est propre à un commencement « mathématique » se trouve absent dans un commencement « réel ». Dans la troisième partie il est démontré que le temps et le commencement sont inséparablement liés l'un à l'autre. Le temps réel apparaît partout dans des périodes ayant un commencement et ainsi dans un ensemble compliqué de commencement et de permanence. Toutes les totalités dans la nature vivante et dans la nature inanimée, les individus ainsi que les espèces, ont été neuves une fois. Avant ce commencement multiple notre univers a été neuf. Cependant, alors il appert que cette mesure perd son utilité. Lorsque l'univers était encore en gestation, notre temps, lui aussi, avec sa mesure était en formation. C'est pourquoi une localisation exacte du commencement de l'univers sur l'échelle du temps n'est pas seulement impossible, mais même absurde. Cependant, si un commencement ne peut jamais être déñni de façon mathématique, il est pourtant défini de sa manière particulière dans le temps, c'est à dire par une définition qui essentiellement contient une certaine imprécision. Quant au commencement de l'univers les sciences physiques conduisent par des chemins différents à un même résultat, et font conclure à un âge de l'univers de quatre milliards et demi d'années environ. Finalement une question concernant la notion de création se présente. La tradition connaît en effet une notion de création dans un sens très stricte, distinguée des notions de « conservatio » et de « concursus ». On a l'habitude de lier le fait de la création à un seul ou à quelques instants. Mais nous croyons pouvoir démontrer que dans la dépendance que les créatures ont a l'égard du Créateur, il y a toujours aussi un aspect d' « être créé » dans le sens cité plus haut, un aspect qui se met d'autant plus au premier rang qu'il y a plus de nouveauté et de discontinuité vis à vis du passé. (shrink)

We reply to a comment by Hargrave and Smith on a paper in which we use Ostrom’s design principles to develop theory about stakeholder governance. We agree with most of the issues that Hargrave and Smith raise, but disagree with their statement that the systems view of stakeholder governance that they advocate stands in contrast to our approach. The two approaches are complementary.

Nastava iz prirodoslovnog područja danas se najčešće temelji na principima konstruktivizma prema kojima djeca trebaju biti aktivni sudionici procesa učenja i izgrađivati svoje znanje na temelju iskustva. Metode i sredstva korištena u nastavi prirodoslovnog područja moraju biti prilagođeni perceptivnim potrebama slijepe djece i djece s oštećenjima vida kako bi im se omogućilo aktivno sudjelovanje u procesu učenja. Cilj ovoga rada je opisati posljednje spoznaje o aktivnom i istraživačkom učenju slijepe djece i djece s oštećenjima vida u nastavi prirodoslovnog područja te (...) otkloniti postojeće zablude. Nadalje, rad predstavlja recentna istraživanja koja ukazuju na prilagođene uspješne i visokokvalitetne odgojno-obrazovne pristupe i metode. S obzirom na navedeno, sadržaj rada bit će od koristi nastavnicima iz prirodoslovnog područja, kao i istraživačima inkluzivnih učionica. (shrink)

Johan Vilhelm Snellman (1806–1881) tunnetaan valtiomiehenä, sanomalehtimiehenä ja kansallisena herättäjänä, mutta hänen filosofiansa on usein jäänyt hänen yhteiskunnallisen vaikutuksensa varjoon. "Maailmanhenki Pohjolassa" piirtää yleiskuvan Snellmanin ja hänen esikuvansa G. W. F. Hegelin (1770–1831) filosofiasta. Se toimii johdantoteoksena heidän ajatteluunsa ja kertoo samalla 1800-luvun Suomen henkisen elämän kansainvälisyydestä. "Maailmanhenki Pohjolassa" selittää, miten Snellman Hegelin ajattelua käytti ja tulkitsi, ja korostaa, millaisissa asioissa Snellman teki pesäeron sekä Hegeliin että maineikkaisiin hegeliläisiin kuten Ludwig Feuerbachiin ja David Friedrich Straussiin. "Maailmanhenki Pohjolassa" (...) on perusteos suomalaisesta filosofiasta ja Suomen kulttuurihistoriasta kiinnostuneille. (shrink)

Artikkeli käsittelee J. V. Snellmanin (1806–81) varhaisvaiheen filosofiaa ja sen suhdetta hänen 1840-luvun alun filosofiseen pääteokseensa "Persoonallisuuden idean spekulatiivisen kehittelyn yritys" (Versuch einer speculativen Entwicklung der Idee der Persönlichkeit). Varhaisvaiheen filosofia viittaa Snellmanin julkaistuihin kirjoituksiin vuosina 1835–40 sekä luentokäsikirjoituksiin ja muihin muistiinpanoihin. -/- Artikkelin keskiössä on Snellmanin varhainen luenta G. W. F. Hegelin (1770–1831) filosofiasta. Snellmanin filosofian on yleensä katsottu seuraavan Hegelin esikuvaa uskollisesti. Tämä pitää pääasiassa paikkansa, mutta toisaalta Snellman ei missään vaiheessa uraansa epäröinyt poiketa Hegelin viitoittamalta tieltä. (...) Hän ei tosin juuri korostanut eroja itsensä ja saksalaisen esikuvansa välillä. Snellman esitti varhaisfilosofiassaan muun muassa omaperäisen tulkinnan Hegelin subjektiivisen hengen filosofiasta. Hän pyrki myös yhdistämään Hegelin kaksi logiikan pääesitystä yhdeksi kokonaisuudeksi. Snellman myös täydensi joiltain osin Hegelin systeemiä. Hegel ei esimerkiksi koskaan vastannut yksiselitteisesti kysymykseen siitä, tarvitseeko hänen systeeminsä itsenäisen johdannon. Snellman katsoi johdannon tarpeelliseksi ja esitti varhaisfilosofiassaan oman versionsa johdannosta. Snellmanin johdanto keskittyi itsetietoisuuden käsitteeseen, joka oli keskeisessä roolissa myös hänen vuonna 1841 julkaisemassaan teoksessa "Persoonallisuuden idean spekulatiivisen kehittelyn yritys". (shrink)

Erkenne dich selbst sei die schwierigste Zumutung, die einem Menschen gemacht worden ist – so proklamierte Finnischer Philosoph und Hegelianer J.V. Snellman (1806–81) in der Ein-leitung zum seinen ersten philosophischen Hauptwerk. In diesem Werk ("Versuch einer spekulativen Entwicklung der Idee der Persönlichkeit", Tübingen 1841) kommentierte Snellman sowohl G.W.F. Hegels (1770–1831) Philosophie des subjektiven Geistes als auch die Diskussion unter deutschen Hegelianern. Laut Snellman setzt die Durchführung der Idee der Philosophie des subjektiven Geistes eine engere Verbindung zwischen spekulativer (...) Logik und Geistesphilosophie vor. Im Vortrag stelle ich die Frage, was für eine Verbindung Snellman tatsächlich im Auge hatte. (shrink)

When philosophers put forward claims for or against 'property', it is often unclear whether they are talking about the same thing that lawyers mean by 'property'. Likewise, when lawyers appeal to 'justice' in interpreting or criticizing legal rules we do not know if they have in mind something that philosophers would recognize as 'justice'. J. W. Harris here examines the legal and philosophical underpinnings of the concept of property and offers a new analytical framework for understanding property and justice.

First published in 1938. A study of the political doctrines and events which led to a hardening of lines between the Royalists and the Parliamentarians. "From the March of 1604, when James I met his first Parliament to the assembly of the Long Parliament in November 1640, there was going on a conflict between irreconcilable views concerning the constitution of government in England. It was concerned with what had been and with what was and, necessarily, with what should be." By (...) 1640 the question soon would be "how stable government could ever again be established... But the confusion, if it produced little else of value, produced a ferment of thought." And this ferment has had an incalculable effect on the centuries which have followed. Among the many topics discussed, on the basis of firm knowledge and with reasonableness, are the King and the nature of his claim, the parliamentary opposition and its conceptions and the possibility of compromise, the approach to Toleration, Puritanism and the Laudian Church, and the final collapse of government. (shrink)

"Contemporary Mind - Some Modern Answers" is a fantastic collection of essays by English science writer John W. Sullivan. They deal with a range of subjects, ranging from mysticism and immortality to the relationship between science and art. John William Navin Sullivan (1886 - 1937) was a literary journalist and popular science writer most famous for his study of Beethoven. He is also responsible for having written some of the earliest non-technical accounts of Einstein's General Theory of Relativity, and he (...) was acquainted with many important writers in London in the 1920s, including John Middleton Murry, Aldous Huxley, Wyndham Lewis, Aleister Crowley and T. S. Eliot. Other notable works by this author include "Aspects of Science" (1923), "Aspects of Science: Second Series" (1926), and An Outline of Modern Knowledge (1931). Contents include: "The Balanced Life," "The Problem of Suffering," "The Necessity of Mysticism," "Human Immortality," "A Dissertation on Beethoven," "The Scientific Outlook," "A Dissertation on Maxwell," "New Principles," "A Dissertation on Newton," "Science and Art," "Mathematics and Culture," "Sir Josiah Stamp," "Mr. Aldous Huxley," etc. Many vintage books such as this are increasingly scarce and expensive. It is with this in mind that we are republishing this volume now in an affordable, modern, high-quality edition complete with the original text and artwork. (shrink)

This paper studies the use of hypotheses schemes in generatinginductive predictions. After discussing Carnap–Hintikka inductive logic,hypotheses schemes are defined and illustrated with two partitions. Onepartition results in the Carnapian continuum of inductive methods, the otherresults in predictions typical for hasty generalization. Following theseexamples I argue that choosing a partition comes down to making inductiveassumptions on patterns in the data, and that by choosing appropriately anyinductive assumption can be made. Further considerations on partitions makeclear that they do not suggest any solution (...) to the problem of induction.Hypotheses schemes provide the tools for making inductive assumptions, but theyalso reveal the need for such assumptions. (shrink)

To what extent is time similar to space? in this paper it is shown that the claim, Made by richard taylor among others, That time and space are "radically alike" is unfounded. This claim can be supported only by employing the notion of temporal parts. It is shown that if objects are regarded as having temporal parts as well as spatial parts, Then serious disanalogies exist between time and space. Furthermore, If objects are said to have temporal parts, Then it (...) must also be held that time is in a very important sense "prior" to space and this that time and space are not only unlike in certain respects but indeed are radically dissimilar. Moreover, The so-Called "manifold theory of time" necessarily makes use of the notion of temporal parts and therefore should hold that time and space are quite unlike. But since an important part of the manifold theory of time is the claim that time and space are very much alike, This theory is to that extent not satisfactory. (shrink)